Mise à Mort

La question qui depuis vous vous taraude l'esprit et le corps.
Ce chien errant entraperçu sur cette route pavée d'or
Portant une corde au cou- fait d'un noeud coulant -certie de diamants.
Qui'était-il?
Pourquoi l'avoir jalousé, l'avoir envié?
Paranoïaque, quelle est cette ombre qui hante ces pas?
Il avance à l'aveuglette, car ici pour lui la lumiere a choisit de l'éblouir.
Contrairement à vous, à qui elle a choisit d'offrir toute sa clareté
Pour vous laissé voir ce que l'on veut vous faire voir.
Peut importe où il les pose ses pieds agards s'égarent.
Dans les ténèbres que sont ses jours et ses nuits, lui peut faire son choix.
Du droit comme du gauche, la même infortune le ruine.
Pourquoi du haut de votre pieds d'éstale restez-vous à le dévisager?
Du trou noir ou d'une marre de boue
L'éclat de la mémoire se fera tôt ou tard.
Certain y perdront la foi, d'autre leur raison d'ètre.
L'éclaboussure des miasmes des déchets de notre temps et des ceux passés.
Le parcours reste cassant, le chemin plus court.
Hors des sentiers, les âmes perdues fuient tout espoir bâtuent.
En creusant sa propre tombe dans l'idée de vivre dans le confort et la sécurité,
Le petit mortel s'est trouvé plongé dans un trou sans fond.
Croyant, par dévotion aux grands de ce monde, aux beaux parleurs des écrans télévisés,
Avoir semé les graines du bien-ètre, planté l'arbre de vie d'un prévisible avenir.
N'ont récolté que les miettes du peu qu'ils avaient pû, par acharnement quotidien, faire grandir.
Son jardin secret ayant été pillé, saccagé pendant toute une existence d'asservicement.
Noyé dans cet océan de doute dévorant dévoré par ces masses de crasse.
Alimentechaque jour par les larmes solitaires de son for intèrieur.
Venu à bout de lui même, la goutte qui fait débordée le vase.
Il fuit, à en perdre sa rage, à en faire naître la haine envres les autres et son être.
Le pas devenu lourd, le suivant encore plus que le précédent.
Cette âme qualifiée de perdue est aujourd'hui libre de toutes entraves.
Il descend vers son propre enfer quittant le votre devenu froid, sans saveur
Depuis ce regard porté, il a exacerbé en vous
Une peur que vous refouliez de puis des heures
Celle de devoir un fuir pour goûter a cette même liberté.
Ou crever écraser par le poids des années.
BOUM!!!!!!

l