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Encre de Ruine

11 mars 2013

NoTe D'aide

Au revoir à ce long séjour, trop long séjour

Les cordes de ce violon dingue ont rompu le silence

L'éclat du jour naissant éveil le pianiste endormi

Les doigts endoloris de la veille, ce soir douloureux

Emporté dans son élan, la mélopée virevoltante, moment oublié

Retour au réel nauséabond, la montée du venin

L'esprit ailleur quelque part entre l'envie et le désir

Seul la bête de foire, ivrogne du néant, assoiffée de peur

Egayant l'auditoire d'un blues éthéré, humiliée par le temps

Ces notes assomées par le poids de l'attente passée à oublier

Lorsque sa conscience n'est plus qu'un tas de gravas malodorant

Que les gestes se mêlent à ses pensées, à ses songes lubriques

Des rêves amères, des rêves rachitiques affamés de tendresse

Ambitions mortes prisonnières d'une métampsychose vénimeuse

Comme sa tête traversée d'idées noires, ses doigts hurlant

Une mélodie se répendante comme un flot brulant, liqude

Le vénin de ce serpent se mordant la queue atrophiée

Goutte après goutte, rythmant les heures de veille aveugle

Le rendant d'année en année, de moins en moins invincible

Le temps qui sur lui, n'a plus d'emprise, le soude au souvenir

Il lui promit, la guérison, l'oublie présent comblant l'absence

Cela n'a fait pousser en lui qu'un fruit infécondé, au goût d'ennui

Reste une peur, une angoisse de vivre, d'avancer les pions

Le temps qui passe ne fait que fondre ses chaires, bruler sa vie

Descendant d'une lignée d'êtres méconnus, méconnaissables entre tous

Fourbus du poids de leur insatiable peur de vivre l'instant rêvé

Pour qui, vivre, s'enorgueillir d'aimer, sont tabous

Devenu étranger à lui-même, oublié de l'Autre

Inassemblable, semblable à une poupée de cire

Horrifiée par le dégoût d'elle-même, fondue de son regard de glace

Allumant un feu, incontrolable, brasier de leurs baisers

Atre fumant de leurs coeurs, brulant leurs dernières heures

Un Amour s'érodant, s'émiettant, semant des cendres à tous vents

Toutes ces fois à tenter l'impossible grand saut, fuit de la Mort

Honteuse de voir cet homme acétique, rire aux lames qui le défont

Face à lui-même, désincarnation d'un féminin en quête du masculin

Antique chimère d'un monstre et d'une ruine romantique

Empoisonné par la fleur de lys, accueilli comme boufon du roi

Une nausée acide au goût de terre, tombée d'un déluge de pierre

Avançant à tâton dans une vague lumière, floutée de pudeur voilée

Eclairant les uns pour voir la chaire des autres brulée de ce tison ardant

Face à lui-même, le vile et pâle reflet de son ambition dépravée

Prostituant son coeur à une âme grise, maquerelle atteinte à la tête

Descendant d'une lignée d'êtres, illustres inconnus

Courbés par de faux espoirs, tiraillés entre posséder et appartenir

Au fil de lui-même, il avance à pas pourchassés par des ombres

Fuyant de tout son être une humeur vitreuse, froidement vicieuse

Noyé par son sentiment violent de vide, ce néant pesant

Le bruit qui court dans ses veines bouillantes, bientôt béantes

Parcourues d'une amertume glaciale et sirupeusement sucrée

Inassemblable à son semblable, horrifié par le dégoût des autres

De ses rêve à ses cauchemards, il n'y a qu'un pas et aucuns choix

Entre ses rêves et ses cauchemards, son coeur balance

Dites au revoir à jamais, à ce jour, trop long séjour

Les cordes de ce violon dingue ont rompu le silence

L'éclat du jour naissant éveil les piannistes endormis  

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24 mai 2012

PeTiTe MorT

 

Dans ce cou où je rêve d'y voir perler ma sueur
Je voudrais y planter mes crocs et ne plus les en retirer
Y marrier mon âmes à la sienne, diluées dans le nectar de nos sangs
Dans ce vague à l'âme intraveineux, nous nous sommes éperdu de l'un l'autre
Entre nos corps brulant nous tisserons une toile où nous y piègerons notre amour
Nous nous loverons dans cette alcove de désir pour y faire grandir une fièrté sucrée
Nous boirons en l'autre ce liquide sirupeux, le poison du vertueux
Ici il sera notre hydromel nous perdant dans cette ivresse plus que divine
ces douces épaules deviendrons le pied d'éstale de ma passion retrouvée
Peu importe la distance parcourue le long de nos corps
Enveloppés dans une peau devenue parchemin interdit
Tatouée du désir de nos coeurs maladifs
Y trouver, pas une raison mais une réponse menant à d'autre questions
Mais nous construirons pour mieux nous retrouver, se comprendre à jamais
Se retrouver à puiser en l'autre le remède à ce mal être carcéral
Provoquant en nous même un mal être romantique
S'évader de nos propre cage de chaire pour nous lier l'un l'autre
A la vie, à la mort à ces chaines que sont l'envie et le désir
S'écarter de tous, dévorant tout l'espace, perdu dans le vaste désert du temps
Nous deviendrons notre propre prison sensorielle
Où le désir nous viendra, incandescent, véhément
En bourreau aux yeux crevés, il rmopra nos amarres
Qui nous ancrent aux bas fondsde cette futile vie humaine
Nous nous verrons nous élever dans ces airs
Libre d'être nous même où nos corps oublieux de mortels
S'uniront dans cette vie comme dans cette petite mort

 

19 mai 2012

LaiSSer CoulER!!!!!

Au fond du gouffre qui le surplombe de toute son ignorance
Le petit homme aux yeux de braises tente en vain de réchauffer son coeur de pierre
Frénésie carnavalesque l'absorbant, le désincarnant de bête de somme en clown triste
Seul, attaché comme ce vulgaire chien de paille
Depuis longtemps, attendant que pourrisse ses entrailles
Oublieux de son bien être pour une dévotion malsaine
Criant à qui veut l'ignorer qu'il se haît de ne plus être
Le pantin entrainé par la vague des âmes éperdues
Broyé par la bourrasque de la tempête ambiante
L'esprit perdu ds ce bordel dérangé qu'est devenue sa tête
Vomissant ses attentes maintenant avortées à même l'idée
Crachant à son visage son dégoût de lui même de ne plus savoir comment goûter à l'autre
Spéculant sur sur le devenir du moment suivant où tout peut encore changer
Faute de savoir comment savoir combler le temps, il en a laissé s'écoulé son propre sang
Voir se répendre comme de sa propre humeur vitreuse une peste noire
Un mal insaciable, le dévorant de l'intérieur
Faisant naître en lui l'envie de fuir son corps claustrophobe de son présent
De courir, de ne plus se retourner malgrés ses pieds tranchés
Nié par son reflet dans cette glace brisée de la spirale de l'échec
Récoltant sur ce terreau moisît que des fruits pourrit à l'âme gâté
Fécondés par sa maladresse, emplie du venin de l'oubli
Invoquant des démons usés, fatigués d'avoir tout tenté
D'avoir fait naître l'obscure clareté sur un mur fuit de ses lamentations
D'avoir fait souffrir, fait perir, son âmes damnée
Et d'avoir si souvent échoué, ils ont vu chuter son emprise
Au fond de notre gouffre qui nous surplombe de toute son ignorance
Le petit homme aux yeux de braises tente en vain de rechauffer son coeur de pierre
Dans cette frénésie carnavalesque, l'entrainant dans un tourbillon de doutes
Où il ne cessera de se cogner dans ses propres angles
Comme une bête devenue son immonde intérieure, affolée, vide de sens
Au fond de son gouffre qui le surplombe de toute son ignorance
Le petit homme au yeux de braises tente en vain de réchauffer son coeur de pierre

 

2 mai 2012

En haut d'une dune !!!!!

S'ensevelir sous une dune de sel au goût devenu si poivrée
Recherchent la douleur qui puisse nous réunir nous mêler
Nous avions, si souvent, piétiné ce sable devenu si émouvant
Nous avions, si souvent, observé de nos yeux brulant ce vent tout dispersé
S'acharner à préserver ce soupçon de vérité
Permettre de revoir les jours où tout était que claire obscure
Certain prétendrons déplacer des montagnes pour voir leur désirs s'enivrés
Alors que mon souffle à déjà tout emporter, le tien tout effacé
Lire dans nos pas des souvenirs à récréer, tes souffrances à dépasser
Mais vient toujours la vague qui en s'éloignant témoignera
Notre douleur n'est plus qu'une bouteille à la mer, un bateau ivre
A travers l'autre nous avions espoir de s'être redécouvert
Avoir tout compris, sans émettre une questions, que nous ésquissions une réponse
Dans l'impossibilité de faire un choix , aimer ou fuire
Aprés avoir si longtemps attendu que les pluies cessent
Après avoir vidé jusqu'a la dernier goutte de ce sang
Un coeur et un corps vides de notre empreinte en laquelle nous avons cru
S'acharnant à en effriter la plus fine carapace

S'ensevelir sous une dune de sel au goût devenu si poivré
Recherchant une douleur qui puisse nous réunir, nous mêler
Nous rêvions de piétiner de nos pas si légers devenus si nus de l'un l'autre
Nous rêvions de voir s'esquisser par nos visions cette frontière entre nous s'écrouler
Dans ce profond silence dont nous nous sommes enivré
De ces caresses et de ces baisers nous nous sommes attaché pour ne plus vouloir les oublier
Criant au néant à s'en bruler la poitrine
Implorant notre indifférence de quitter ces lieux
Ne laissant nulles miettes pas même une poussière de nos passions passées
Nous pleurions à nos moments perdus, notre histoire retrouvée
Nous pleurerons dans nos bras retrouvés, nos futurs moments partagés
Oublieux du temps, l'espace d'une dune
Aimons un temps, l'espace d'une dune
Marchons un temps, l'espace d'une dune
Rêvons à jamais de ne plus jamais quitter cette dune
Et si de nos vies nous n'en formions plus qu'une

25 avril 2012

Comment tailler son arbre de vie après l'avoir planté

Par la craquelure de son marbre
Le socle de son existence cisaillé
Des kilomètres de pensées dépensées
Découvrir son arbre de vie, son festin macabre
Regarder par l'interstice de son écorce
Voir un vide abyssale, un manque de connaissance
Pourquoi l'avoir fuit hier pour le pleurer aujourd'hui?
Nu ses feuilles enfantées de la veille
Mensonge par omission, telle est sa faille
Croulant sous le poids de l'erreur passé
Sa cime, devenue vision d'horreur en proie aux carnassiers
Ses branches pourtant aimantes, pourtant entrelacées
Se mettent a fuir la vie, leur lumière
Etriquées dans leur gangue de honte amère
Une écorce sèche d'avoir trop versé
Dans le grotesque et la lâcheté
Avec un coeur aussi dur qu'une pierre
Lacéré, prisonnier de son lierre
Pourquoi l'avoir fuit hier pour le voir s'écrouler demain?
Le famélique tronc travestie en postiche colosse de verre
A deux doigts de se briser
Faire voler en éclat tant d'années d'amertume
Ou était-il, le petit Homme lorsque les racines ont entamés leur descente aux enfers?
Intoxiquées par le mépris et la condescendance de ce même Homme
Creusant plus profond encore pour atteindre la source
Mais en vain, l'essence même de l'être n'est plus
Ici la racine verra sa chimère y finir sa course
D'oublie, elles se sont sectionnée la mémoire
Tout en caressant un espoir de renaître, mais en vain
Pourquoi l'avoir fuit hier pour le pleurer aujourd'hui?
Il lui aurait suffit d'un maigre effort, le devoir de mémoire
Mais ce clown trapéziste à choisit l'oublie
Car Aujourd'hui nous n'avons toujours rien appris si ce n'est comment tailler notre arbre de vie!!!!!!

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16 avril 2012

Aimer Tue et nuit à vos démons intérieurs

Combien de temps avons-nous mis pour couper la poire en deux
Dévoration de notre intérieur pour avoir croqué trop fort la pomme
Laissant traîner derrière soi ce trait sanguinolant
Retrtaçant à la fois un chemin de honte, une route à ne plus suivre
Menant à ce coeur laissé entrouvert, déchiré, fuyant
A même le sol, écrasé à terre, alourdi par le poids de la question
Courir à tombeau ouvert, vers une fin salutaire
Marcher, piétiner, marquer le pas, vers un renouveau, une nouvelle chance
Nous avions tant cherché, pour la trouver, elle, devenue réponse
Elle se trouvait être, mon orgueil, ma fièrté perdue
A double tranchant, la morsure du froid m'a fait sienne
Encore une fois nous perdons le fil sans l'avoir briser
Combien de temps avons-nous mis pour couper la poire en deux
Dévorer de l'interieur pour avoir croqué trop longtemps la pomme
Mêlant la sucré et l'amertume, brisant les barrières
Creusant deci delà des gouffres de douleur
Où viennent chuter, se perdre, jouissances, bien-être
Aspiré par nos propre failles, faiblesses de nos âmes
Combien de temps avons-nous mis pour couper la poire en deux

16 avril 2012

Apte titube

Laissé pour mort sur le bas côté de sa haute éstime
Le quatuor embarqué dans cet élan mu par l'amertume
Vibrant comme dans une dernière danse avant la casse
Oublié dans un bagage, sur le recto d'une lettre
Voir de plus en plus son angoisse faire des siennes, il est las
Délirium concédé dans le but d'être avant de disparaître
L'heure tourne mais le petit homme ne se retrouvera qu'incertain
Semant les pièces du puzzle de son existence brisée
Son passé révolu ne veut même plus le rattrapper
A présent il s'en moque, enfin oresque, sauf de tout
Gangrèner par son manque de savoir être
D'aimer, il ne peut en définir le sens, en a vidé la sève
Egaré ds les bas fonds de son monde déglutit
Veut-il, espère-t-il, se projette-t-il, dans un futur, dans un flou
Le petit homme passera pour un fou, un fantôme
Que cachje cette si faible carapace, ce postiche masque
Où va-t-il si ce n'est droit dans un mur
Construisant sur son passage des forteresses de vent
Singeant un idéal conformiste, durcissant une peau inexistante
Il n'est rien que la lie de son envie d'être
Incapable de voir le bonheur pointer son nez
Comme l'Autre il contemple la rivière de boue qu'il nourrit
Comme l'Autre il est égaré dans les bas fonds de son monde déglutit

 

 

 

16 avril 2012

Fruit Mur

Réveil obscure pour le petit homme sur son lit de plume
Aspirer depuis tant d'heures pour un confort vascillant
Se perdant dans les brumes de son esprit noyé dans son amertume
Ivre d'arrogance, ces dernières minutes ils les a contemplées de haut
Aujourd'hui tant attedues, fatigué de s'être si longtemps contemplé
Hier actrices de seconds rôle de rêves obscènes, blindé à l'orgueil
Les cris muets de sa conscience étouffée viennent gonfler les rangs de ce jeu d'échecs
Les hordes de ressentiments, frappent le sol d'un continent continent dépossédé
Où son intolérance fît construire des pyramide de vide
Devenue l'île perdue dans son océan de remords
Ses murailles de papiers machés n'ont pû protéger son fort, mortifié, mortifère
Seul face à lui même en capitaine désespéré de ce bateau livre, nu de toutes lignes
Le petit homme au regard glacé, vide maux, isolé du reste des marges
Bâtaille pour le vrai, faute d'avoir essayé d'être lui-même
Il entrebaille les portes de sa factice gloire
Vision floutée de cette inhumaine mue par la faim de sa fin
L'heure sonne, le moment est venu de ne plus être l'Un mais l'Autre
En une dernière tentative de pardon, il tombe d'émoi
Toute une vie à taille dans le plus dur des marbre
Creusant les plis et replis dessinant les traits de son mensonge
Toute une vie à s'observer par le prisme, de ses fausses évidences, le masque de lui même
Seul face à face, impossible de fermer les yeux devant son horreur
Ses paupières ont fuits son erreur, le voile de son hypocrisie
Assomé par le devoir inaccompli de son pouvoirsur lui même
Etourdipar la chaleur irradiante des brasiers de son amour impropre
Se retournant une dernière fois sur son oeuvre surfaite, surranée
Mais rien, si ce n'est des couloirs vide sens de sa mémoire attrophiée
Mais rien, pas même le bâttement d'aile du papillon travesti en cobeau
Dévorant, disperçant la dépouille de son fantôme qui maintenant va s'évaporer
Non plus rien...
Rien...

 

 

 

16 avril 2012

J'aurais voulu en mourrir

J'ai rêvé de faire naître en nous un amour de cristal
Tout juste prêt à éclater comme du verre
Entre les fissures de ce cristaux me reviennent ces paroles
Voir dans ces éclats ma mémoire comme un désert de larmes
Se serrer plus fort pour se prouver à nous même
Seul le partage peut vaincre la souffrance et la peur
Obsession, une douleur de te voir si fragile
Offrir à ton être mon souffle de vie, mon souffle plus habile
Peindre une amertume au pinceau du mensonge
Recouvrir mes envies d'une couche de désirs sombres
La clarté mue par l'ennui s'évanouie dans l'obscurité
L'image mimant mon dégoût de la vie
Gommer un passé dévorant mon présent,incrusté de cristaux futiles
Prenant pour cible mon avenir déjà si consommé
Heureux que j'étais, ce soir, cette nuit où je me suis cru capable
D'être pour elle, une infime partie de sa réponse
Sans me permettre de devenir le point sur le i
J'ai crié, voir vomis mon angoisse de renaître
De n'être pas plus haut que ces trois pommes
Horrible vision, perspective, que je me force à tracer
J'ai rêvé de faire naître en nous un amour de cristal
Tout juste prêt à éclater comme du verre
Entre les fissures de ce cristaux me reviennent ces paroles
Voir dans ces éclats ma mémoire comme un désert de larmes

16 avril 2012

Noir de rêves

Pourquoi penser qu'un jour nos rêves prendrons vie
Où nous verrons la terre se fendiller
Où les plus faibles brulerons sur place
Où les plus forts les forts perdrons leur bas instincts
Ceux-ci sont des rêves de mort
Pour ceux qui vivent déjà le pire de nos cauchemards
A quoi songent-ils lorsque le sommeil frappe à leur tête
Voient-ils une brume d'où ne transperce aucunes lumières
Où sont-ils les plus à même de voir le sens du mot
Où puisent-ils la force de atteindre la question
Se dépassentèils lorsqu-il faut y trouver une réponse
Lorsque nous petits hommes à l'intelligence de façade
Palabrerons sur pour cacher le doute derière une langue si bien pendue
Quand le confort de nos vie nous voilera la vue
Empêchant de voir notre semblable fondre à vue d'oeil
Sous une bombe, un torrent de boue, un ras de marrée
Pourquoi penser qu'un jour nos rêves prendrons vie
Alors que nous ne sommes que de vulgaires petits clowns
En équilibre entre le vrai et al vitualité que nous créons
Nous avons oeuvré bien au-delà du rêves
Ici notre dégoût nourrit une angoisse de mort
La-bas la vomissures nourrit la mort de l'angoisse
Y-at-il une frontière en rêves et réalité
Lorsque les cauchemards de l'un ne sont encore que les rêves de l'autre
Pourquoi connaître la lubie du cauchemards
Quand on sait que les cauchemards de l'un ne sont encore que les rêves de l'autre
Ne cessez pas de rêver mais il vous plait faites partager
Si nos rêves sont au point mort, écoutons au moins les autres parler
In spirons-nous de ceux assument leur vie
Rechercons nos réponses dans la réalisation des autres
Puisons l'énergie dans l'accomplissement de l'autre
Pourquoi penser qu'un jour nos rêves prendrons vie
Les miens sont pessimistes, sanglants et fatalistes
Les siens sont fières , pleins de vie mais vide sens


"Mais on ne peut empêcher une histoire de se raconter"

 

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Encre de Ruine
  • Pourquoi pas moi ? Oui pourquoi pas moi ? Recueil de textes de mes 10, 15 dernières années ! Je n'ais rien à prouver mise à part à moi-même ! Si ça peu divertir même quelques instant!! Puristes de l 'orthographe, désolé!!!!!
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